POT POURRI A LA FLEUR DE SEL
EAN 9782842381141, octobre 2009
Dans la presqu’île guérandaise, entre Le Pouliguen, La Baule et Guérande, sévit un tueur qui a déjà à son actif cinq victimes dont un député, son attaché parlementaire et un prêtre proche de l’évêché. La gendarmerie est sur les dents. S’agit-il d’un déséquilibré ? d’un exécuteur ? d’un vengeur ? d’un terroriste ? Se cache-t-il dans la cité des Alouettes promise par certains à la démolition, au milieu de jeunes très organisés ?
Une mystérieuse grille de mots croisés contiendrait des indices sur la prochaine victime. Mais alors qui l’a adressée à Jo Morel, le correspondant du journal local ? Et voilà qu’on enlève l’épouse d’un notable ! Dans un climat de suspicion générale le journaliste mène aussi son enquête avec l’aide des jeunes des Alouettes qui entendent bien laver leur honneur. Mais il dérange et on le lui fait sentir. Il ne fait pas bon parfois se hasarder dans le dédale des marais salants ou dans les halliers de la Brière quand s’acharne sur vous une société secrète au service d’intérêts très particuliers qui s’apparente au Ku Klux Klan.
PAPILLONS DE MORT SUR LA COTE D’AMOUR
ISBN: 978 -2-84238-129-5 Série Carbone,
Une invasion de papillons déferle sur la presqu’île guérandaise. Une espèce très particulière, sorte de sphinx aux ailes roses mais à la tête de mort. On s’interroge sur l’auteur de ces tags que l’on retrouve sur les murs de Saint-Nazaire à Piriac en passant par La Baule et le Pouliguen.
L’affaire prend un tour sinistre quand la gendarmerie
et le journaliste Jo Morel (héros de Pot-pourri à la fleur de sel) établissent une corrélation entre une série de morts aussi subites que violentes de notables de la région, juge, architecte, restaurateur… Chaque crime est signé d’un message faisant allusion à ces sinistres papillons qui continuent d’apparaître un peu partout.
Les victimes sont des hommes aisés, connus et influents à la respectabilité de façade mais dont la vie privée comporte d’énormes zones d’ombre. La préfecture s’affole, la gendarmerie est démise au profit de la DGSE qui s’enlise lamentablement.
S’agit-il d’une vengeance, de femmes jalouses - mais toutes ont de solides alibis - ou pire, d’attentats terroristes destinés à déstabiliser une région ? Les meurtres continuent, jusqu’à Nantes ; le préfet est démis ; l’Élysée exige des résultats. La vérité sera-t-elle bonne à dire ou la fin sera-telle totalement immorale, la raison d’État et l’ordre social devant l’emporter sur la recherche de la vérité?
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